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Chapitres VII, VIII, IX |
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« Le tableau était complété par une vingtaine de ces silhouettes de bois isolées sur l’écume d’un bleu électrique, semblant voguer, naviguer vers l’île, plantées dans les vagues de l’eau. » |
« Il n'y avait toujours aucun vent, mais la vitesse du déplacement et les larges mouvements des gigantesques ailes des gourabkas l'inondaient d'une brise inattendue dans ce monde. Tim était allongé les bras en croix sur le plancher de branches tressées de son étrange nacelle, les yeux perdus dans l’incroyable ballet des corbeaux géants, cinq mètres au dessus. » |
« Regarde, TB ! Il a fait une maquette du monde d'équinoxe !
C'est dingue ! Ça marche ?... » |
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Chapitres VII, VIII, IX |
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TIM ET LE MONDE D'EQUINOXE - TRANSOLA - Eric Merlo |